Lors du congrès de l’AIMSIB, 47 minutes de la conférence furent allouées au Docteur Erik Loridan, chirurgien viscéral “suspendu”. Il livre ici sa revue de la littérature recensée, notamment sur PubMed depuis 1975 sur le fameux sujet des masques. Vous le retrouverez sur le CSI du 7 juillet. Dans les articles sur son blog, Jean-Dominique Michel ne cesse depuis plus de deux ans de nous informer de l’inutilité des mesures dites sanitaires et sur la toxicité du port du masque. Les Dépêches citoyennes vous en font ci-dessous un résumé tout en incluant les liens pour les articles et la vidéo. N’hésitez pas cependant pas à les lire. L’AIMSIB est une association à laquelle vous pouvez adhérer (66% de réduction d’impôts), cette association est plus que jamais essentielle. Le blog Anthropo-logiques de Jean-Dominique Michel est riche et la lecture des articles est plaisante, accessible et transpire d’humanité.


Le Docteur Erik Loridan est non seulement médecin mais chirurgien, donc  les masques, il connaît !

Il n’est pas le seul à le dire :

“Le port du masque est inutile mais constitue le seul signe visible de lutte contre la Covid-19 – …les masques ne donnent que l’impression aux gens de contribuer à stopper la propagation du virus … risque potentiel d’auto-contamination, maux de tête, difficultés respiratoires, lésions cutanées, mal supporté par les jeunes enfants…”. Rapport OMS 5/06/2020

« Enfin, si le port du masque était efficace, il ne serait pas nécessaire de confiner ! »  Olivier Véran.

« Les masques n’ont aucun intérêt pour le grand public » Jérôme Salomon.

Le masque en extérieur : « un principe de précaution inutile » Martin Blachier.

Le décret du 29 octobre 2020 est en totale contradiction avec les recommandations de l’OMS qui recommande le port du masque chez les jeunes enfants comme devant demeurer l’exception et qui met en garde contre les nombreux effets indésirables qu’il engendre, en particulier chez les jeunes enfants qui le supportent particulièrement mal (altère la compréhension du discours, chute des capacités d’attention).

Les études scientifiques depuis 1975 : 

1975 : étude bactériologique : le port du masque est inefficace en bloc opératoire pour les risques d’infections du patient opéré.

Années 80 : une étude atteste que les microsphères d’albumine ne sont pas retenues par le masque. Ces microsphères sont bien plus grosses que des virus (entre 0,06 et 0,14 microns).

1981 : aucune évidence directe que le port du masque réduise les infections post-opératoires.

1989 : le personnel qui pose les cathéters post-opératoires n’a pas à porter de masques.

1991 : aucune différence significative mise en évidence, que l’équipe opératoire porte ou non un masque. Le masque est un “rituel inutile”.

2001 : étude bactériologique :  les masques portés par les patients lors d’une anesthésie générale ne réduisent pas la concentration de bactéries dans l’air.

2001 : méta-analyse : aucune différence significative sur les infections post-opératoires entre les équipes masquées ou non masquées.  Cependant des études indiquent une réduction significative d’infections de suites opératoires quand les équipes sont non masquées.

2008 : 53 chirurgiens : oxymètre : constat de la baisse de saturation en oxygène dès les première heure. 

Masque et grippe H1N1 : les études expérimentales, en milieu de soins avec des patients atteints de la grippe ou communautaire concluent toutes : aucune différence significative.

2010 : il n’existe pas de données probantes sur la pratique du port du masque.

2010 : pas de surinfection pour les patients opérés par du personnel ne portant pas de masques.

2010 : méta-analyse : impacts psychologiques négatifs et augmentation de maux de tête.

2014 : aucune évidence que le port du masque diminue ou réduise les infections post-opératoires.

2015 : aucun évidence que le port du masque protège le patient ou le chirurgien d’une infection.

2015 : British Medical Journal : Les masques en tissus retiennent les moisissures et augmentent le risque d’infection. Ils ne doivent pas être recommandés.

2020 : nous savons que le port du masque en dehors d’un établissement de santé offre peu voire pas de protection. Le masque permet d’accroître le sentiment de sécurité. 

2020 : décès de deux enfants qui faisaient du sport avec port du masque : pas d’autopsie.

2020 : la plupart des personnels de santé développent des maux de tête avec le port du masque et voient l’aggravation de maux de tête pré-existants.

2020 : plusieurs plaintes liée à la conséquence de l’élévation du taux de dioxyde de carbone. 

2021 : 1 213 études :  chute significative de la saturation en oxygène qui entraîne une fatigue prolongée : le port du masque en population générale est préjudiciable.

   ° aucune efficacité en bloc opératoire pour arrêter les infections post-opératoires. La nocivité n’est pas démontrée parce que l’air est frais et aseptisé et le masque bien porté.

   ° aucune preuve d’efficacité en période épidémique H1N1.

   ° effets secondaires neurologiques avérés, développement cérébral chez les enfants, retards d’apprentissage et de lecture.

Erik Loridan : ” Je suis désolé mais je n’ai pas trouvé d’études attestant du contraire. Ce n’est pas une opinion mais la conclusion des données de la science : le masque est aussi efficace pour endiguer une épidémie qu’un château de sable pour arrêter une marée montante”

 

Le professeur Denis Rancourt a réalisé une étude : “masks don’t work, masks don’t help” -> les masques ne fonctionnent pas, les masques n’aident pas”. 

Le professeur Denis Rancourt et 239 scientifiques :

” En faisant des recommandations et des politiques sur le port du masque pour le grand public, ou en approuvant expressément cette pratique, les gouvernements ont à la fois ignoré les preuves scientifiques et fait le contraire de suivre le principe de précaution : il y a eu de nombreuses études randomisées contrôlées et des revues de méta-analyse des études ECR qui montrent toutes que les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires …”

“Ce serait un paradoxe si les masques fonctionnaient car les particules sont trop fines pour être bloquées…”

“Il n’y a aucun avantage connu découlant du port d’un masque dans une épidémie de maladie virale respiratoire..”

…les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans un vide scientifique… Il en va de même avec le verrouillage mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé depuis 20 ans et expert en santé publique. Il intervient auprès des hautes écoles et universités.

La santé publique est une discipline qui aborde la santé physique et mentale dans toutes ses dimensions et dont la finalité est d’améliorer la santé de la population, à un niveau individuel et collectif. Elle fait appel à diverses sciences : épidémiologie, démographie, sociologie, économie de la santé, … Elle est aussi une question sociale, les maladies ont une histoire et une influence sur la société, les politiques sanitaires diffèrent selon les pays.

Le masque est inefficace et même néfaste, indiquent 167 études et articles scientifiques.

Le pouvoir protecteur du port du masque est un dogme, une croyance qui a colonisée les esprits malgré la solidité et la masse d’études réalisées. Jean-Dominique Michel cite notamment la compilation réalisée par le Dr Alexander qui a une expérience en épidémiologie (au Canada, au Danemark et avec l’OMS). Il a été professeur adjoint à l’Université Mac Master en médecine fondée sur des données probantes et en méthodes de recherche mais aussi conseiller principal et matière de politique sur la pandémie à Washington. 

Les confinements ont été la plus grande erreur de l’histoire, nous savions qu’ils ne fonctionneraient pas. À ce jour les conclusions sont robustes et claires : les masques ne permettent pas de contrôler le virus et ils peuvent être dangereux, en particulier pour les enfants.

Éric Menat lors du CSI rappelle ces études qui établissent que l’on retrouve profondément dans les poumons des micro-particules de plastiques non bio-dégradables qui proviennent, au moins pour partie, des masques.

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