Vera Sharav Survivante de l’Holocauste
Défenseur des droits de l’homme Fondatrice
et présidente de l’Alliance pour la protection de la recherche humaine (AHRP)

Vous trouverez ci-joint quelques extraits et un lien pour retrouver l’intégralité de la traduction.

L’Holocauste est le symbole archétypal du mal absolu.

  • Les normes morales et les valeurs humaines ont été systématiquement oblitérées.
  • Le système nazi a détruit la conscience sociale.
  • Des millions de personnes ont été exploitées jusqu’à la mort en tant qu’esclaves.
  • D’autres ont été utilisés comme cobayes d’expériences.

L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka.
L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de libertés individuelles et de la suspension des droits légaux, des droits civils et essentiellement des droits de l’Homme.

Le décor a été planté par une propagande de la peur et de la haine.

La véritable maladie virale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de tous les génocides.

  • L’eugénisme se dissimule sous un manteau de pseudo-science.
  • Il a été embrassé par l’establishment académique et médical ainsi que par le système judiciaire en Allemagne et aux États-Unis.
  • Les eugénistes justifient les inégalités sociales et économiques.
    Ils légitiment la discrimination, l’apartheid, la stérilisation, l’euthanasie et le génocide. Les nazis appelaient cela « nettoyage ethnique » – pour la protection du patrimoine génétique.
    La médecine a été détournée de sa mission de guérison et utilisée comme une arme
  • Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Tous ces êtres humains ont été condamnés comme des « mangeurs inutiles ».


Le but des mémoriaux de l’Holocauste est d’avertir et d’informer les générations futures sur la façon dont une société éclairée et civilisée peut se transformer en un univers génocidaire régi par une dépravation morale absolue.
Si nous voulons éviter un autre Holocauste, nous devons identifier les parallèles actuels inquiétants avant qu’ils n’empoisonnent le tissu social.


En déclarant l’état d’urgence – en 1933 et en 2020 – la liberté individuelle, les droits légaux et les droits civils protégés par la constitution ont été balayés. Des décrets répressifs et discriminatoires ont suivi.

En 2020, les dictats gouvernementaux ont interdit aux hôpitaux de traiter les personnes âgées dans les maisons de retraite. Le résultat a été un meurtre de masse.
Les décrets gouvernementaux continuent d’interdire aux médecins de prescrire des médicaments vitaux, approuvés par la FDA ; les protocoles dictés par le gouvernement continuent de tuer.

Les médias sont silencieux – comme ils l’étaient à l’époque.
Les médias diffusent un récit unique, dicté par le gouvernement – tout comme sous les nazis. Une censure stricte réduit au silence les opinions opposées.

Ce document historique a été formulé en réponse aux preuves des atrocités médicales commises par les médecins et les scientifiques nazis.

Le code fixe des limites morales à la recherche sur les êtres humains.

Le Code de Nuremberg rejette l’idéologie de l’eugénisme et affirme sans équivoque la primauté et la dignité de l’être humain individuel. L’être humain est au dessus du “plus grand bien pour l’état ou la société ».

L’objectif du code de Nuremberg est de garantir que la médecine ne s’écarte plus jamais du principe éthique de précaution « D’abord, ne pas nuire ».

Le Code de Nuremberg a servi de modèle pour les codes nationaux et internationaux des droits de l’homme qui ont suivi, afin de garantir que :

  • les droits et la dignité des êtres humains soient respectés ;
  • et pour faire en sorte que les médecins ne se livrent plus jamais à des expériences moralement odieuses.
  • Comme les 10 commandements, pas un mot du code ne peut être modifié.

Le premier des dix principes éthiques énonce l’exigence éthique la plus importante, qui est expliquée en détail, je lis :

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ».

La culture génocidaire qui imprégnait le régime nazi n’a pas pris fin en 1945. Elle s’est métastasée aux États-Unis. À la fin de la guerre, des agents du gouvernement américain ont aidé 1 600 scientifiques, médecins et ingénieurs nazis de haut rang à échapper à la justice de Nuremberg.

Ces technocrates nazis ont facilité les opérations meurtrières des nazis. Ils étaient les partenaires d’Hitler dans les crimes contre l’humanité. Ils ont été secrètement introduits aux États-Unis dans le cadre de l’opération Paperclip. Ceci en violation des ordres explicites du président Harry Truman. Ces criminels nazis ont été placés à des postes de haut niveau dans de grandes institutions scientifiques et médicales américaines où ils ont poursuivi leurs travaux. Qui plus est, ces technocrates nazis ont formé une génération de scientifiques, de médecins et d’ingénieurs américains.
C’est ainsi que les méthodes nazies et le mépris immoral des valeurs humaines se sont enracinés en Amérique.

En 1961, dans son discours d’adieu à la nation, le président Dwight Eisenhower a mis en garde contre la domination croissante du « complexe militaro-industriel » dont « l’influence totale – économique, politique, même spirituelle – se fait sentir partout ».

Eisenhower a averti : « nous devons être attentifs au danger que la politique publique devienne elle-même captive d’une élite scientifico-technologique ». Ce sont eux qui sont derrière la pandémie de Covid.

Le Code de Nuremberg est notre défense contre les expérimentations abusives.

L’humanité est actuellement assiégée par les héritiers mondiaux des nazis.

Une bande de milliardaires mondiaux, impitoyables et interconnectés, a pris le contrôle des institutions nationales et internationales qui définissent les politiques.

Ils se sont lancés dans la mise en œuvre d’un programme diabolique :

  • Renverser la démocratie et la civilisation occidentale ;
  • Dépeupler la population mondiale ;
  • Éliminer les États-nations et établir un gouvernement mondial unique ;
  • Éliminer l’argent liquide et établir une monnaie numérique unique ;
  • Injecter des identifiants numériques et des capacités d’intelligence artificielle dans chaque être humain. Si ces objectifs deviennent une réalité, nous serons surveillés numériquement 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

En mai 2022, au Forum économique mondial de Davos, Klaus Schwab, l’architecte de la Grande Réinitialisation dystopique, a déclaré :
 « ​​​​​​​Soyons clairs, le futur ne se produit pas tout seul ; le futur est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle. Nous avons les moyens d’imposer l’état du monde ».

Le but ultime de ces mégalomanes est de prendre le contrôle total des ressources naturelles et financières du monde et de remplacer les humains par des robots transhumains.

[1] Le transhumanisme est un système de castes amélioré par la bio-technologie – le nouvel eugénisme.

Le principal conseiller de Klaus Schwab est Yuval Noah Harari, un Israélien formé à l’Université d’Oxford. Harari est un partisan du Nouvel Eugénisme et du Transhumanisme.

Harari qualifie les humains d’ »animaux piratables ». Il a déclaré : « Nous avons la technologie pour pirater les humains à grande échelle… »

Harari méprise le concept même de Dieu.

Les transhumanistes méprisent les valeurs humaines et nient l’existence d’une âme humaine. Harari déclare qu’il y a trop de « gens inutiles ». Le terme nazi était « mangeurs sans valeur ».

C’est le nouvel eugénisme.
Il est adopté par les technocrates milliardaires les plus puissants du monde qui se réunissent à Davos : Big Tech, Big Pharma, les oligarques financiers, les universitaires, les dirigeants gouvernementaux et le complexe militaro-industriel. Ces mégalomanes ont ouvert la voie à un nouvel holocauste. Cette fois, la menace de génocide est à l’échelle mondiale.

Cette fois, au lieu du gaz Zyklon B, les armes de destruction massive sont des armes biologiques injectables issues du génie génétique, qui se font passer pour des vaccins.

Cette fois, il n’y aura pas de sauveteurs. À moins que nous ne résistions tous, plus jamais ça, c’est maintenant.

Transcription intégrale : https://depeches-citoyennes.fr/2022/08/75eme-anniversaire-du-code-de-nuremberg.html

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